mercredi 1 avril 2009

revue de presse du 1er avril

"Désireuse de se consacrer à temps plein aux élections régionales, Valérie Pécresse a quitté le MESR. On dit aussi que c'est une faàon pour elle de se positionner pour le ministère de la justice.

La président de la république a indiqué dans un communiqué qu'elle serait remplacée par Christine Boutin. Nicolas Sarkozy a vanté les qualités dialogue de Valérie Pécresse. Il a indiqué que la rigueur, l'ouverture d'esprit de Christine Boutin serait un atout pour remplir sa mission au MESR.

Dans des propos off rapportés par notre confrère rue89.com, Xavier Darcos qui commençait à être à court de manoeuvres dillatoires s'est dit content de repartir de zéro avec un nouveau partenaire sur le dossier de la mastérisation.

Le seul syndicat à avoir réagit pour l'heure est la CFTC qui voit en même Boutin un interlocuteur de qualité."

pour plusd'info, aller voir là.

L'article cite beaucoup SLU, SLR, la FSU, ... et explique que plus le mouvement continue, plus les revendications s'élargissent (LRU, pacte pour la recherche, ...)

Il conclut sur le risque pour les étudiants :
"Outre la radicalisation des revendications, la grève des enseignants-chercheurs menace de plus en plus l’année universitaire des étudiants. Le rattrapage des cours et des examens devient urgent dans certains établissements ou composantes, touchés depuis plus de deux mois. « Si le blocage continue encore une à deux semaines, certains étudiants ne pourront pas avoir leur année », s'énerve Claire Guichet, à la tête de La Fage"
et l'attitude extrème de certains :
"Les enseignants-chercheurs mobilisés agitent des menacs de plus en plus dures. Notamment le boycott des jurys universitaires ou même du baccalauréat. Enseignante à Paris 3 et membre de SLU, Valérie Robert affirmait, elle, que « si le gouvernement continue à nous traiter par le mépris, nous envisagerons de donner leur diplôme à tous les étudiants, sans examen » (Le Parisien du 31 mars).

Au risque de délivrer un diplôme sans valeur. Mais aussi de perdre un appui de taille dans la mobilisation actuelle contre les réformes en cours : les étudiants."

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